Edité en 1847, une deuxième édition paraît en 1849, préfacée par Lamartine et illustrée par Gavarny. Une traduction en anglais ouvre à Cellarius une véritable consécration et le succès du livre s'étend rapidement à toute l'Europe.
Comme beaucoup d'ouvrages du XIXe
siècle, le Traité de la danse décrit les pas de la valse, de la mazurka,
de la polka, les [fi]gures du cotillon. Livre décisif dans l'histoire
de la danse, sa véritable originalité est de vouloir fonder la danse de
salon comme une discipline nouvelle en rupture avec la danse de ballet.