Deux textes majeurs de l'œuvre de Jeanne Guyon. Cette œuvre qui ne se 
confine pas dans les règles strictes de la mystique ou de la 
spéculation, si même elle traverse l'une et l'autre ; mais aussi bien, 
comme Jeanne Guyon se plaisait à dire, elle a en don, le « discernement 
des esprits » ; c'est le don d'atteindre chacun en son centre, de lui 
donner ce dont il a besoin avec les mots qui lui parlent, tout en se 
disant elle-même.